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| Sujet: [Fanfic] Sieg Cryhigh Dim 30 Sep - 23:24 | |
| Après avoir relu divers topics de ma création dans la catégorie "Récits", j'ai remarqué que quelques personnes voulaient la fanfiction du personnage Sieg Cryhigh. Ayant déjà fait quelques fictions auparavant, et ayant eu des avis plutôt positifs dessus, j'ai donc décidé de commencer celle-ci. Donc pas besoin que Caro "se ramène et me bourre de cookies pour booster mon imagination et mon RP" (quoi que remarque, ça me gênerait pas, mais passons ) J'éditerai au fur et à mesure de la progression du récit, et je posterai pour vous informer de chaque EDIT. N'hésitez pas à lâcher vos avis ! Chapitre I : L'éveil- Spoiler:
Il faisait jour, il était assez tôt. Le champ du coq réveilla Sieg alors qu'il venait de subir un voyage inapproprié dans l'espace-temps. Heureusement pour lui, personne ne l'avait vu, il avait atterrit dans une maisonnette récemment abandonnée au milieu d'un village dévasté par divers bandits et pillards en tout genre.
Où suis-je ? Etant doué d'une intelligence énorme et d'une capacité d'analyse surhumaine, Sieg se rendit vite compte qu'il se trouvait au Moyen-Âge. Afin de mieux s'adapter aux environs, et après avoir fait le tour de la bâtisse, il changea ses vêtements urbains modernes pour une tenue de paysan trouvée dans une armoire. Il garda cependant quelques trucs utiles tels que "Delacroix" et quelques unes de ses munitions, cachées sous sa tenue.
Sortant alors de la maison dans laquelle il venait d'apparaître, il se dirigea vite vers le cabanon du chef du village, avant que le reste du village ne soit levé. Il fut alors reçu par Eorlund Gribsin (prononcé Ai-Or-Lune-De Grib-Sine), dans ce qui servait de château à ce village de misère. Effectivement, personne n'avait à l'époque les moyens et les possibilités de créer un vrai château dans cette zone marécageuse et infestés des pires espèces de criminels. Malgré la misère apparente et la tristesse du chef, Sieg fut traité avec le plus grand respect, et il prit alors connaissance des problèmes de la zone.
Les temps sont durs pourle village Zelkanthof. Les pillards pillent, les brigands volent, et les assassins tuent quelques marginaux de la population. La nuit est mauvaise, ici. Et c'était sans compter sur le domaine voisin : Valeryus ! Ils nous attaquent une fois par mois, sans pitié, et ravagent nos terres pour une simple histoire de domination du pays ! Heureusement, malgré les nombreux marécages, nous arrivons à cultiver le double de notre besoin. Nous sommes obligé cependant de distribuer la nourriture chaque jour, car les seules terres en état de produire quoi que ce soit sont celles protégées par quelques soldats, et elles m'appartiennent personnellement. Sieg n'était pas vraiment sûr qu'il reverrait sa ville natale, et encore moins certain de comment s'y prendre pour revenir à son époque. Mais il ne pouvait pas rester indifférent à ce que lui disait Eorlund.
Le chef accepta que Sieg loge la maison dans laquelle il était tombé par magie. Cette maison était à la base le lieu d'habitation des ambassadeurs de l'empire Valeryen, mais les négociations étaient finies, et les ambassadeurs rentrés chez eux. Sieg resta alors dans la maison d'Eorlund, pour faire plus amples connaissances, et resta jusqu'au crépuscule après un repas bien garni, et il quitta alors la demeure du chef pour rejoindre son nouveau chez-soit. Après avoir nettoyé sa nouvelle habitation et rangé ses affaires, notre héros se mit à réfléchir à tout ça. Pourquoi était-il ici ? Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant ? Qui était cet inconnu à qui appartenait "Delacroix" ? Tout était confus dans sa tête. Il décida que le lendemain, il irait à la rencontre des villageois, pour faire connaissance, les aider, et qu'il irait se renseigner sur les Valeryens.
La nuit tomba sur le malheureux village de Zelkanthof. Un trio de bandits eurent vent d'une rumeur indiquant qu'un étranger se serait installé dans l'ancienne ambassade Valeryenne. Assoiffés par leur désir de chaos, et impatients de voler quelque monnaie à cet étranger en apparence sans défense, ils se ruèrent au village au clair de lune, et s'introduisirent alors chez Sieg, qui tourmenté par ses pensées, n'arrivait pas à dormir. Donne nous ta bourse, étranger, et nous te laisserons la vie sauve ! hurla le premier voleur. Héhéhé, si ça se trouve, il ne comprend pas notre langage. Faudrait lui montrer de quoi nous sommes capables, pour en être sûr ! dit le second, un sourire sur les lèvres. Il suffit ! Assommez-le, et prenez tout ce qu'il y a de valeur ici ! ordonna leur chef.
Sieg n'était pas dupe, il avait compris à leur allure qu'ils étaient armés d'une cimeterre chacun, plus une dague pour le chef du groupe. Et à l'instant où l'un des brigands osa s'avancer, notre fier "étranger" sorti son arme de poing et transforma le pied de l'intrépide voleur en steak haché de basse qualité. Sieg prononça alors ces mots, avec le plus grand calme : Reconsidérez vos plans, ou périssez par ma main. Alors que la cible de Sieg se tordait de douleur, recroquevillé, au sol, ses compagnons regardaient Sieg droit dans les yeux. Ils hésitaient, jusqu'à ce qu'impatient et fou de colère, l'autre bandit se mit à courir vers notre héros, la cimeterre à la main, en criant. Qu'est-ce que... Impossible !!! Sieg venait de stopper la lame à l'aide de sa main gauche. Il rangea Delacroix, brisa le bras de l'attaquant, lui arracha son épée des mains, et se mit à rigoler. J'ai comme l'impression que vous ne comprenez pas ce que je dis, dit-il. Dois-je vous tuer afin de vous faire passer le message ?
Alors que les bandits fuyaient, sous les yeux de quelques habitants réveillés par le vacarme, le chef se retourna et hurla : Toi, étranger ! Tu as fait une grave erreur ce soir ! Tu es jusque là invaincu, mais tu n'es pas invincible ! Et je jure de te tuer de mes propres mains ! Leur silhouette disparue dans le noir de la nuit, alors que les villageois encore éveillés suivirent l'exemple de Sieg en retournant s'endormir comme si rien ne c'était passé.
Et bien... Demain va être mouvementé, j'ai l'impression.
Chapitre II : Une aube chaleureuse (à venir) |
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